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Leane expertise, de l’art de maîtriser les dépenses

La diminution des coûts est dans l’esprit de tous les dirigeants. Mais si les dépenses propres au métier principal de l’entreprise font l’objet d’une attention particulière, l’en­semble des coûts non stratégiques (la consommation énergétique, téléphonique, le nettoyage, les frais de déplacements, les assurances, etc.) sont bien moins présents dans les préoccupations. Leane expertise a fait de la réduction de coûts une science. Avec une croissance annuelle de 15 à 20 %, la société de conseil s’est forgé une image unique dans son secteur, grâce à une démarche axée sur la proximité et la qualité. « La diminution des dépenses doit davantage être un état d’esprit, une préoccu­pation permanente, qu’une simple intervention à une période donnée. C’est pourquoi nous entretenons, avec nos clients, une relation de partenariat privilégié à long terme. Certaines entreprises font d’ailleurs appel à nos services depuis de longues années », confie Jean-Claude Chevillon, directeur associé de la société. Plutôt que de devenir une multinationale, son objectif est de conserver une taille humaine, pour continuer à accompagner un nombre restreint de clients, en privilégiant la qualité des services fournis.

 

Pour cela, Leane expertise s’est dotée d’un réseau d’experts très spécialisés, capables d’intervenir efficacement sur 35 postes de coûts différents. « S’il s’agit d’optimiser la situation fiscale d’une entreprise, les spécialistes qui interviendront sur la taxe professionnelle ne seront pas les mêmes que ceux qui se pencheront sur la taxe foncière ou la TVA. En termes de coûts sociaux, certains experts se focaliseront sur les charges sociales obligatoires, d’autres s’attaqueront aux périphériques sociaux (frais de santé, mise en place d’un plan de retraite par capitalisation, etc.). Ce niveau de spécialisation fait notre force, assure le dirigeant. Nos experts ont au moins quinze ans d’expérience dans leur domaine. Leur connaissance du marché en rapport avec leur mission est donc parfaite. » La plupart des clients de Leane expertise sont des grands comptes et des PME d’au moins 150 salariés. Les missions de réduction de coûts portent autant sur la consommation d’énergie que sur la gestion des flottes automobiles ou les achats de produits et services. Bref, d’une manière générale, tous les postes de coûts indispensables au fonctionnement d’une entreprise. « Mais nous nous adaptons bien sûr au métier du client. S’il s’agit d’un centre d’appels, par exemple, on s’intéressera en priorité aux coûts téléphoniques », explique Jean-Claude Chevillon. « Au-delà de la nature des missions et de la qualité de service que nous mettons à disposition, nous tentons de faire entrer la maîtrise des coûts dans les préoccupations principales des dirigeants », poursuit-il.

 

« Trop souvent, les entreprises se préoccupent de leurs dépenses en cas de crise, lorsqu’il est trop tard. Le premier réflexe est alors d’envisager un plan social, la masse salariale étant toujours la principale source de dépenses. Le but de notre démarche est de faire évoluer les mentalités, et d’apprendre à éviter ces extrêmes, en montrant l’intérêt d’optimiser en permanence les postes de coûts. » L’accompagnement de Leane expertise vise à faire adopter une attitude différente, conduisant à de meilleurs comportements face aux dépenses de fonctionnement. Depuis deux ans, Leane expertise a développé une offre nouvelle, qui consiste à mettre en place un plan stratégique d’optimisation des coûts opérationnels, quels qu’ils soient. « Nos clients nous confient alors la totalité de leurs postes de dépense, que nous classifions dans un premier temps par famille d’achats. Cette méthode permet aux dirigeants d’avoir une vision exhaustive et claire de l’ensemble de leurs coûts et de leurs fournisseurs par typologie. Une fois ce travail effectué, nous définissons avec eux les priorités d’intervention en fonction des objectifs que nous avons déterminés en commun. C’est un véritable travail de partenariat, ponctué de comités de pilotage réguliers, qui se met en place, le but final étant d’atteindre le montant d’économies que nous nous sommes fixé en début de mission », précise Jean-Claude Chevillon.